texte à corriger
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de gls posté le 10-08-2017 à 16:43:11 (S | E | F)
***bonsoir mes amis, pouvez-vous m’aider à corriger ce texte SVP ? Merci.
Le premier jour d’un condamné à la prison
Avant son arrestation, toutes les personnes avaient peur de lui, il était comme un lion, un ours dans la rue. Les presses, les enfants… parlaient de lui. Les agents de police faisait le nécessaire pour l’interpeller, mais en vain. Ils le surnommaient le fantôme. A chaque fois, il s’échappa devant leurs yeux. Il tua de dizaines d’êtres humains, à un taux d’une victime par mois, dont la majorité était des femmes. La frayeur dominait la ville, des manifestations étaient organisées par les citoyens pour protester contre l’handicap de la sureté nationale et demandant la capture immédiate de ce tueur. « Pourquoi faisait-il cela ? » demanda une vieille femme. « Il avait volé mes yeux, c’était une fille de 15 ans que j’avais adopté, elle était belle et constituait ma joie, mais le fantôme la tua d’une façon horrible et sans pitié. C’est moi qui vais l’arrêter » déclara-t-elle. Tous les présents ironisaient d’elle. « Puisque la force n’a pas donné aucun résultat, je vais essayer une autre méthode » dit-elle. A minuit elle porta un cheveu artificiel et sortit, soudain, elle entendit une voix entre les arbres qui lui parla : « tu vas mourir comme les précédentes », les dents de la vieille claquait de la peur : « pourquoi tuas-tu les gens innocents ? » demanda-t-elle. Par une voix horrible il lui répondit : « mes parents m’avaient quitté quand j’avais cinq ans, je vengerai de tout le monde ». Le fantôme pleurait, la femme lui dit : « tu pourrais me considérer comme ta maman, voilà j’ai préparé un gâteau si tu aimerais manger ». Avec une grande joie, il l’avala. Une minute s’écoula, il tomba à terre. La vieille y avait mis une matière causant le sommeil. « Mon Dieu il est grand et géant ». Elle l’attacha par une corde et appela la police. Cette femme devient célèbre et héros de la ville. Demain matin le fantôme ouvrit ses yeux dans le cachot, il était choqué et triste : « je n’ai pas encore terminé ma vengeance » dit-il en hurlant. Après l’exécution de la peine de mort, un policier trouva un document dans le cachot du criminel dont il avait raconté les grands événements qui lui étaient passés durant toute sa vie. Une phrase avait attiré son attention « mon premier jour à la prison était le plus difficile dans toute ma vie ». « Peut-être il avait peur » dit le policier. merci ***
Réponse : texte à corriger de tln83, postée le 11-08-2017 à 01:02:32 (S | E)
Avant son arrestation, toutes les personnes avaient peur de lui, il était comme un lion, un ours dans la rue. Les presses, les enfants... parlait parlaient de lui. Les agents de police faisaient le nécessaire pour l'interpeller, mais en vain ! Ils le surnommaient « le fantôme ». A Chaque fois, il s'échappa s'échappait devant leurs yeux. Il tua de des dizaines d'êtres humains, à un taux d' une victime par mois, dont la majorité était étant des femmes. La frayeur dominait la ville. Des manifestations étaient organisées par les citoyens pour protester contre l'handicap de la sureté sûreté nationale et demandant la capture immédiate de ce tueur. « Pourquoi faisait-il cela ? » demanda une vieille femme. « Il avait volé mes yeux, c'était une fille de 15 ans que j'avais adopté, elle était belle et constituait ma joie, mais le fantôme la tua d'une façon horrible et sans pitié. C'est moi qui vais l'arrêter » déclara-t-elle. Tous les présents ironisaient se moquaient d'elle. « Puisque la les forces de l'ordre n'a pas n'ont donné aucun résultat, je vais essayer une autre méthode » dit-elle. A À minuit elle porta un cheveu artificiel et sortit, soudain, elle entendit une voix entre les arbres qui lui parla : « tu vas mourir comme les précédentes », les dents de la vieille claquait la vieille dame claquaient de la peur : « pourquoi tu tu tues-tu les gens des innocents ? » demanda-t-elle. Par D'une voix horrible il lui répondit : « mes parents m'avaient quitté quand j'avais cinq ans, je vengerai me vengerai de sur tout le monde ». Le fantôme pleurait, la femme lui dit : « tu pourrais me considérer comme ta maman, voilà j'ai préparé un gâteau si tu aimerais veux en manger ». Avec une grande joie, il l'avala. Une minute s'écoula, il tomba à terre. La vieille vieille dame y avait mis une matière causant le sommeil. « Mon Dieu ! il est grand et géant ». Elle l'attacha par avec une corde et appela la police. Cette femme devient devint célèbre et héros de la ville. Demain Le lendemain matin le fantôme ouvrit ses yeux dans le cachot, il était choqué et triste : « je n'ai pas encore terminé ma vengeance » dit-il en hurlant. Après l'exécution de la peine de mort, un policier trouva un document dans le cachot du criminel dont où il avait raconté les grands événements qui lui étaient passés durant toute de sa vie. Une phrase avait attiré son attention « mon premier jour à la en prison était le plus difficile dans de toute ma vie ». « Peut-être il avait-il peur ? » dit le policier.
Réponse : texte à corriger de gls, postée le 11-08-2017 à 10:40:23 (S | E)
Bonjour tln83
Merci pour votre correction, mais ici les correcteurs ne donnent pas des réponses directes, ils nous orientent.
***
Avant son arrestation, toutes les personnes avaient peur de lui, il était comme un lion, un ours dans la rue. Les presses, les enfants... parlaient de lui. Les agents de police faisaient le nécessaire pour l'interpeller, mais en vain ! Ils le surnommaient « le fantôme ». Chaque fois, il s'échappait devant leurs yeux. Il tua des dizaines d'êtres humains, à un taux une victime par mois, la majorité étant des femmes. La frayeur dominait la ville. Des manifestations étaient organisées par les citoyens pour protester contre l'handicap de la sûreté nationale et demandant la capture immédiate de ce tueur. « Pourquoi faisait-il cela ? » demanda une vieille femme. « Il avait volé mes yeux, c'était une fille de 15 ans que j'avais adopté, elle était belle et constituait toute ma joie, mais le fantôme la tua d'une façon horrible et sans pitié. C'est moi qui vais l'arrêter » déclara-t-elle. Tous les présents se moquaient d'elle. « Puisque les forces de l'ordre n'ont donné aucun résultat, je vais essayer une autre méthode » dit-elle. À minuit elle porta un cheveu artificiel et sortit, soudain, elle entendit une voix entre les arbres qui lui parla : « tu vas mourir comme les précédentes », les dents de la vieille dame claquaient de la peur : « pourquoi tues-tu des innocents ? » demanda-t-elle. D'une voix horrible il lui répondit : « mes parents m'avaient quitté quand j'avais cinq ans, je me vengerai sur tout le monde ». Le fantôme pleurait, la femme lui dit : « tu pourrais me considérer comme ta maman, voilà j'ai préparé un gâteau si tu veux en manger ». Avec une grande joie, il l'avala. Une minute s'écoula, il tomba à terre. La vieille dame y avait mis une matière causant le sommeil. « Mon Dieu ! il est grand et géant ». Elle l'attacha par une corde et appela la police. Cette femme devint célèbre et héros de la ville. Le lendemain matin le fantôme ouvrit ses yeux dans le cachot, il était choqué et triste : « je n'ai pas encore terminé ma vengeance » dit-il en hurlant. Après l'exécution de la peine de mort, un policier trouva un document dans le cachot du criminel où il avait raconté les grands événements de sa vie. Une phrase avait attiré son attention « mon premier jour en prison était le plus difficile de toute ma vie ». « Peut-être avait-il peur ? » dit le policier.***
Merci.
Réponse : texte à corriger de alienor64, postée le 11-08-2017 à 11:10:00 (S | E)
Bonjour gls

Et des erreurs, il en reste !

Avant son arrestation, toutes les personnes avaient peur de lui, il était comme un lion, un ours dans la rue. Les presses




























Bonne journée

Réponse : texte à corriger de gls, postée le 11-08-2017 à 13:37:17 (S | E)
Bonjour alienor et merci
Avant son arrestation, toutes les personnes avaient peur de lui, il était comme un lion, un ours dans la rue. La presse, les enfants... parlaient de lui. Les agents de police faisaient le nécessaire pour l'interpeller, mais en vain ! Ils le surnommaient « le fantôme ». Chaque fois, il s'échappait sous leurs yeux. Il tua des dizaines d'êtres humains, du rythme d'une victime par mois, la majorité étant des femmes. La frayeur dominait la ville. Des manifestations étaient organisées par les citoyens pour protester contre le handicap de la sûreté nationale et demander la capture immédiate de ce tueur. « Pourquoi faisait-il cela ? » demanda une vieille femme. « Il avait volé mes yeux, c'était une fille de quinze ans que j'avais adoptée, elle était belle et occupait toute ma joie, mais le fantôme la tua d'une façon horrible et sans pitié. C'est moi qui vais l'arrêter » déclara-t-elle. Toutes les personnes présentes se moquaient d'elle. « Puisque les forces de l'ordre n'ont donné aucun résultat, je vais essayer une autre méthode » dit-elle. À minuit, elle porta un cheveu artificiel et sortit. Soudain, elle entendit une voix entre les arbres qui lui dit : « Tu vas mourir comme les précédentes ». Les dents de la vieille dame claquaient de peur : « Pourquoi tues-tu des innocents ? » demanda-t-elle. D'une voix horrible il lui répondit : ( svp pourquoi la majuscule après : ) «Mes parents m'ont abandonné quand j'avais cinq ans, je me venge sur tout le monde ». Le fantôme pleurait, la femme lui dit : « Tu pourrais me considérer comme ta maman, voilà j'ai préparé un gâteau ; si tu veux en manger, je te l'offre ». Avec une grande joie, il l'avala. Une minute s'écoula, il tomba à terre. La vieille dame y avait mis une liquide provoquant le sommeil. « Mon Dieu ! il est géant et affreux». Elle l'attacha à une corde et appela la police. Cette femme devint célèbre et héroïne de la ville. Le lendemain matin, le fantôme ouvrit les yeux dans le cachot, il était choqué et triste : « Je n'ai pas encore terminé ma vengeance » dit-il en hurlant.
Après l'exécution de la peine de mort, un policier trouva un document dans le cachot du criminel où il avait raconté les grands événements de sa vie. Une phrase avait attiré son attention : « Mon premier jour en prison a été le plus difficile de toute ma vie ». « Peut-être avait-il peur ? » dit le policier.
Merci bc
Réponse : texte à corriger de alienor64, postée le 11-08-2017 à 17:25:56 (S | E)
Bonjour gls
C'est déjà mieux !

Avant son arrestation, toutes les personnes avaient peur de lui,














Après l'exécution de la peine de mort, un policier trouva un document dans le cachot du criminel où il avait raconté les grands événements de sa vie. Une phrase avait attiré son attention : « Mon premier jour en prison a été le plus difficile de toute ma vie

Bonne journée

Réponse : texte à corriger de gls, postée le 13-08-2017 à 13:22:44 (S | E)
Bonsoir alienor et merci
Avant son arrestation, toutes les personnes avaient peur de lui ; il était sauvage comme un lion et un ours, quand il marchait dans la rue, personne ne pouvait sortir de la maison. La presse, les enfants... parlaient de lui. Les agents de police faisaient le nécessaire pour l'interpeller, mais en vain ! Ils le surnommaient « le fantôme ». Chaque fois après qu'ils l'apercevaient, il s'échappait sous leurs yeux. Il tua des dizaines d'êtres humains, au rythme d'une victime par mois, la majorité étant des femmes. La frayeur dominait la ville. Des manifestations étaient organisées par les citoyens pour protester contre l'inefficacité de la sûreté nationale et demander la capture immédiate de ce tueur. « Pourquoi fait-il cela ? » demanda une vieille femme. « Il a volé mes yeux, c'était une fille de quinze ans que j'avais adoptée, elle était belle et faisait toute ma joie, mais le fantôme l'a tuée d'une façon horrible et sans pitié. C'est moi qui vais l'arrêter » déclara-t-elle. Toutes les personnes présentes se moquaient d'elle. « Puisque les forces de l'ordre n'ont donné aucun résultat, je vais essayer une autre méthode » dit-elle. À ( est ce que l'accent se met sur la majuscule) minuit, elle porta une perruque et sortit. Soudain, elle entendit une voix entre les arbres qui lui dit : « Tu vas mourir comme les précédentes ». Les dents de la vieille dame claquaient de peur : « Pourquoi tues-tu des innocents ? » demanda-t-elle. D'une voix horrible il lui répondit : "Mes parents m'ont abandonné quand j'avais cinq ans, je me venge sur (pourquoi sur et ne pas de ) tout le monde ». Le fantôme pleurait, la femme lui dit : « Tu pourrais me considérer comme ta maman : Voilà j'ai préparé un gâteau ; si tu veux en manger, je te l'offre ». Avec une grande joie, il l'avala en un seul morceau. Une minute s'écoula, il tomba à terre. La vieille dame y avait mis un liquide provoquant le sommeil. Quand elle s'approcha de ce monstre humain prolongé sur son ventre, la veille dame était stupéfiée de sa taille et de son aspect et dit : « Ah ! Mon Dieu ! il est géant et affreux». Elle l'attacha à une corde et appela la police. Cette femme devint célèbre et l'héroïne de la ville. Le lendemain matin, le fantôme ouvrit les yeux dans le cachot, il était choqué et triste : « Je n'ai pas encore terminé ma vengeance" hurle-t-il.
Après l'exécution de la peine de mort, un policier trouva un document dans le cachot du criminel où il avait raconté les grands événements de sa vie. Une phrase avait attiré son attention : « Mon premier jour en prison a été le plus difficile de toute mon existence». « Peut-être avait-il peur ? » dit le policier.
Bonne journée
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Réponse : texte à corriger de alienor64, postée le 13-08-2017 à 20:02:20 (S | E)
Bonsoir gls

Avant son arrestation, toutes les personnes avaient peur de lui ; il était sauvage comme un lion et













Après l'exécution de la peine de mort, un policier trouva un document dans le cachot du criminel où il avait raconté les grands événements de sa vie. Une phrase avait attiré son attention : « Mon premier jour en prison a été le plus difficile de toute mon existence». « Peut-être avait-il peur ? » dit le policier.
Bonne soirée

Réponse : texte à corriger de gls, postée le 14-08-2017 à 18:40:43 (S | E)
Bonsoir alienor et merci infiniment
Avant son arrestation, toutes les personnes avaient peur de lui ; il était sauvage comme un lion ou un ours ; quand il marchait dans la rue, personne n'osait sortir de chez lui. La presse, les enfants... parlaient de lui. Les agents de police faisaient le nécessaire pour l'interpeller, mais en vain ! Ils le surnommaient « le fantôme ». Chaque fois qu'ils l'apercevaient, il s'échappait sous leurs yeux. Il tua des dizaines d'êtres humains, au rythme d'une victime par mois, la majorité étant des femmes. La frayeur s'avait emparé la ville. Des manifestations étaient organisées par les citoyens pour protester contre l'inefficacité de la sûreté nationale et demander la capture immédiate de ce tueur. « Pourquoi fait-il cela ? » demanda une vieille femme. « Il a volé mes yeux, c'était une fille de quinze ans que j'avais adoptée, elle était belle et faisait toute ma joie, mais le fantôme l'a tuée d'une façon horrible et sans pitié. C'est moi qui vais l'arrêter » déclara-t-elle. Toutes les personnes présentes se moquaient d'elle. « Puisque les forces de l'ordre n'ont donné aucun résultat, je vais essayer une autre méthode » dit-elle. À minuit, elle porta une perruque et sortit. Soudain, elle entendit une voix entre les arbres qui lui dit : « Tu vas mourir comme les précédentes ». Les dents de la vieille dame claquaient de peur : « Pourquoi tues-tu des innocents ? » demanda-t-elle. D'une voix horrible il lui répondit : "Mes parents m'ont abandonné quand j'avais cinq ans, je me venge sur tout le monde ». Le fantôme pleurait, la femme lui dit : « Tu pourrais me considérer comme ta maman : Voilà j'ai préparé un gâteau ; si tu veux en manger, je te l'offre ». Avec une grande joie et en une seule bouchée, il l'avala. Plus tard, il tomba à terre. La vieille dame y avait mis un liquide provoquant le sommeil. Quand elle s'approcha de ce monstre humain étendu sur son ventre, la vieille dame était stupéfiante de sa taille et de son aspect et dit : «Mon Dieu ! quel géant ! qu'il est affreux ! ». Elle l'attacha à une corde et appela la police. Cette femme devint célèbre et l'héroïne de la ville. Le lendemain matin, le fantôme ouvrit les yeux dans le cachot, il était choqué et triste : « Je n'ai pas encore terminé ma vengeance" hurla-t-il.
Après l'exécution de la peine de mort, un policier trouva un document dans le cachot du criminel où il avait raconté les grands événements de sa vie. Une phrase avait attiré son attention : « Mon premier jour en prison a été le plus difficile de toute mon existence». « Peut-être avait-il peur ? » dit le policier.
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Réponse : texte à corriger de alienor64, postée le 15-08-2017 à 00:07:47 (S | E)
Bonsoir gls

- Lien internet
- Pronoms personnels toniques : Lien internet
- Les prépositions : Lien internet
Avant son arrestation, toutes les personnes











Après l'exécution de la peine de mort, un policier trouva un document dans le cachot du criminel

Bonne soirée

Réponse : texte à corriger de gls, postée le 15-08-2017 à 10:41:48 (S | E)
Bonjour mon amie
tout d'abord je tiens à vous remercier sur les éfforts que vous faites pour corriger ce texte.
Avant son arrestation, tout le monde avait peur de lui ; il était aussi sauvage qu'un lion ou un ours ; quand il marchait dans la rue, personne n'osait sortir de chez soi. La presse, les enfants... parlaient de lui. Les agents de police faisaient le nécessaire pour l'interpeller, mais en vain ! Ils le surnommaient « le fantôme ». Chaque fois qu'ils l'apercevaient, il s'échappait sous leurs yeux. Il tua des dizaines d'êtres humains, au rythme d'une victime par mois, la majorité étant des femmes. La frayeur s'était emparée la ville. Des manifestations étaient organisées par les citoyens pour protester contre l'inefficacité de la sûreté nationale et demander la capture immédiate de ce tueur. « Pourquoi fait-il cela ? » demanda une vieille femme. « Il a volé mes yeux, c'était une fille de quinze ans que j'avais adoptée, elle était belle et faisait toute ma joie, mais le fantôme l'a tuée d'une façon horrible et sans pitié. C'est moi qui vais l'arrêter » déclara-t-elle. Toutes les personnes présentes se moquaient d'elle. « Puisque les forces de l'ordre n'ont donné aucun résultat, je vais essayer une autre méthode » dit-elle. À minuit, elle se mit une perruque et sortit. Soudain, elle entendit une voix entre les arbres qui lui dit : « Tu vas mourir comme les précédentes ». Les dents de la vieille dame claquaient de peur : « Pourquoi tues-tu des innocents ? » demanda-t-elle. D'une voix horrible il lui répondit : "Mes parents m'ont abandonné quand j'avais cinq ans, je me venge sur tout le monde ». Le fantôme pleurait, la femme lui dit : « Tu pourrais me considérer comme ta maman, voilà j'ai préparé un gâteau ; si tu veux en manger, je te l'offre ». Avec une grande joie et d'une seule bouchée, il l'avala. Une minute plus tard, il tomba à terre. La vieille dame y avait mis un liquide provoquant le sommeil. Quand elle s'approcha de ce monstre humain étendu sur son ventre, la vieille dame était étonnante à cause de sa taille et son aspect et dit : «Mon Dieu ! quel géant ! qu'il est affreux ! ». Elle l'attacha à une corde et appela la police. Cette femme devint célèbre et l'héroïne de la ville. Le lendemain matin, le fantôme ouvrit les yeux dans le cachot, il était choqué et triste : « Je n'ai pas encore terminé ma vengeance" hurla-t-il.
Après l'exécution de la peine de mort, un policier trouva dans la cellule du criminel un document où il avait raconté les grands événements de sa vie. Une phrase avait attiré son attention : « Mon premier jour en prison a été le plus difficile de toute mon existence». « Peut-être avait-il peur ? » dit le policier.
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Réponse : texte à corriger de alienor64, postée le 15-08-2017 à 11:36:29 (S | E)
Bonjour gls
'tout d'abord je tiens à vous remercier

Il ne reste qu'une seule erreur dans un texte à présent parfait :

' la vieille dame était étonnante


Bonne continuation

Réponse : texte à corriger de gls, postée le 15-08-2017 à 12:38:39 (S | E)
Bonjour alienor, une autre fois merci pour ces explications superbes.
Avant son arrestation, tout le monde avait peur de lui ; il était aussi sauvage qu'un lion ou un ours ; quand il marchait dans la rue, personne n'osait sortir de chez soi. La presse, les enfants... parlaient de lui. Les agents de police faisaient le nécessaire pour l'interpeller, mais en vain ! Ils le surnommaient « le fantôme ». Chaque fois qu'ils l'apercevaient, il s'échappait sous leurs yeux. Il tua des dizaines d'êtres humains, au rythme d'une victime par mois, la majorité étant des femmes. La frayeur s'était emparée la ville. Des manifestations étaient organisées par les citoyens pour protester contre l'inefficacité de la sûreté nationale et demander la capture immédiate de ce tueur. « Pourquoi fait-il cela ? » demanda une vieille femme. « Il a volé mes yeux, c'était une fille de quinze ans que j'avais adoptée, elle était belle et faisait toute ma joie, mais le fantôme l'a tuée d'une façon horrible et sans pitié. C'est moi qui vais l'arrêter » déclara-t-elle. Toutes les personnes présentes se moquaient d'elle. « Puisque les forces de l'ordre n'ont donné aucun résultat, je vais essayer une autre méthode » dit-elle. À minuit, elle se mit une perruque et sortit. Soudain, elle entendit une voix entre les arbres qui lui dit : « Tu vas mourir comme les précédentes ». Les dents de la vieille dame claquaient de peur : « Pourquoi tues-tu des innocents ? » demanda-t-elle. D'une voix horrible il lui répondit : "Mes parents m'ont abandonné quand j'avais cinq ans, je me venge sur tout le monde ». Le fantôme pleurait, la femme lui dit : « Tu pourrais me considérer comme ta maman, voilà j'ai préparé un gâteau ; si tu veux en manger, je te l'offre ». Avec une grande joie et d'une seule bouchée, il l'avala. Une minute plus tard, il tomba à terre. La vieille dame y avait mis un liquide provoquant le sommeil. Quand elle s'approcha de ce monstre humain étendu sur son ventre, la vieille dame était stupéfaite à cause de sa taille et son aspect et dit : «Mon Dieu ! quel géant ! qu'il est affreux ! ». Elle l'attacha à une corde et appela la police. Cette femme devint célèbre et l'héroïne de la ville. Le lendemain matin, le fantôme ouvrit les yeux dans le cachot, il était choqué et triste : « Je n'ai pas encore terminé ma vengeance" hurla-t-il.
Après l'exécution de la peine de mort, un policier trouva dans la cellule du criminel un document où il avait raconté les grands événements de sa vie. Une phrase avait attiré son attention : « Mon premier jour en prison a été le plus difficile de toute mon existence». « Peut-être avait-il peur ? » dit le policier.
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Réponse : texte à corriger de alienor64, postée le 15-08-2017 à 18:01:41 (S | E)
Bonjour gls
Cette petite erreur m'a échappé : 'que' à mettre également devant 'un ours' pour le comparatif d'égalité 'aussi... que' ; ' il était aussi sauvage qu'un lion ou qu'un ours'.
Il n'est pas nécessaire d'envoyer de nouveau ce texte ; il est maintenant tout à fait correct.


Bonne continuation

Réponse : texte à corriger de gls, postée le 15-08-2017 à 19:28:59 (S | E)
Bonsoir
merci tln83 et tout le monde et surtout toi, alienor. J'ai appris beaucou

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